CNSSAP : Junior Mata M’Elanga met en avant la gestion des risques et la qualité comme piliers de la performance publique

Lors des Conférences annuelles du service public organisées par la Caisse nationale de sécurité sociale des agents publics (CNSSAP), le Top Manager Junior Mata M’Elanga a livré une communication axée sur trois leviers majeurs de la gouvernance moderne : la gestion des risques, le système de contrôle interne (SCI) et le système de management de la qualité (SMQ).

Dans un contexte marqué par l’exigence croissante de performance, de transparence et de redevabilité au sein des administrations publiques, l’intervenant a souligné que ces dispositifs ne doivent plus être considérés comme de simples outils techniques. Selon lui, ils constituent de véritables instruments de différenciation stratégique et de bonne gouvernance, encore insuffisamment intégrés dans de nombreuses organisations publiques et privées.

Junior Mata M’Elanga a particulièrement insisté sur l’importance de la gestion des risques, désormais incontournable dans toute organisation moderne. Celle-ci implique l’identification et la cartographie des risques, la définition de points de contrôle efficaces ainsi que la mise en place de mécanismes de suivi et de reporting, formalisés notamment à travers des manuels de procédures clairs et opérationnels.

Abordant le système de contrôle interne, il a expliqué que son implémentation permet aux organisations de mieux maîtriser leurs activités et leurs risques, d’optimiser les processus et l’utilisation des ressources, et par conséquent d’améliorer leur performance globale. Pour être efficace, le contrôle interne doit reposer sur plusieurs niveaux de vérification et respecter les principes fondamentaux de gouvernance.

S’agissant du système de management de la qualité, inspiré de la norme internationale ISO 9001, le Top Manager a mis en avant son rôle dans la compréhension de la chaîne de valeur et la gestion des processus interactifs, orientés vers la satisfaction des usagers et des bénéficiaires, dans une dynamique d’amélioration continue.

En conclusion, Junior Mata M’Elanga a estimé que le rétablissement de l’échelle des valeurs dans la gouvernance publique passe nécessairement par une gestion rigoureuse des risques et la mise en œuvre effective de systèmes de contrôle interne et de qualité performants. Ces mécanismes, a-t-il affirmé, expliquent en grande partie la performance de la CNSSAP, sa crédibilité institutionnelle, sa réputation et les nombreuses distinctions qui témoignent aujourd’hui de son excellence en matière de gouvernance publique.